Jérôme Bonnemaison
La Quinzaine littéraire
"Molina se lance à corps perdu autour d'un mystère qui, au départ, tient en peu d'informations : Martin Luther King a été..."
Thierry Clermont
Le Figaro Littéraire
"Un roman vertigineux et singulier."
Ariane Singer
Transfuge
"Une mise à nu exemplaire et risquée."
Jérôme Bonnemaison
La Quinzaine littéraire
"Molina se lance à corps perdu autour d'un mystère qui, au départ, tient en peu d'informations : Martin Luther King a été assassiné."
Thierry Clermont
Le Figaro Littéraire
"Un roman vertigineux et singulier."
Ariane Singer
Transfuge
"Une mise à nu exemplaire et risquée."
Jacinta Cremades
Le Magazine littéraire
"L'auteur démontre avec justesse le pouvoir de la littérature, de l'imaginaire, seul instrument valable pour reconstruire une vie."
Didier Jacob
L’Obs
"Un roman d’une exceptionnelle ampleur.
"
Alexandre Fillon
Le Journal du Dimanche
"Un équilibriste au sommet de son art."
Alexandre Fillon
Le Journal du Dimanche
"
Avec Comme l'ombre qui s'en va, l'écrivain espagnol signe l'un de ses plus grands textes. Une enquête à la fois intime et historique doublée d'une réflexion sur les pouvoirs conjugués du réel et de la fiction.
"
Sophie Pujas
Le Point
"Antonio Muñoz Molina subjugue en écrivant comme ces musiciens pouvaient improviser: à coups d'envolées lyriques et d'embardées inattendues, mais avec une précision à couper le souffle."