Entre Paname et sa banlieue : un quartier, un parking, une friche, des toits, une dalle. Des coffres de voitures, chaises de camping, selles de motocross et rebords de fenêtres, pour se poser et observer le monde en train de se faire et de se défaire. Une pyramide, comme point de repère, au beau milieu de tout ça.
Astor, Chérif, Issa, Demba, Nil et les autres se connaissent depuis toujours et partagent tout, petites aventures comme grands barbecues, en passant par le harcèlement policier qu’ils subissent quotidiennement.
Un soir d’été, en marge d’une énième interpellation, l’un d’entre eux se fait abattre. Une goutte, un océan, de trop. Le soulèvement se prépare, méthodique, inattendu. Collectif.
Diaty Diallo a grandi entre les Yvelines et la Seine-Saint-Denis, où elle continue d’habiter aujourd’hui. Elle pratique depuis l’adolescence différentes formes d’écriture : de la tenue journalière d’un Skyblog à quinze ans à la rédaction d’un livre aujourd’hui, en passant par la création de fanzines et la composition de dizaines de chansons. Deux secondes d’air qui brûle est son premier roman.
Digne héritière de la pionnière Faïza Guène, la nouvelle poétesse du bitume Diaty Diallo est l’une des révélations de la rentrée.
Diaty Diallo aligne les punchlines avec une élégance folle. Déjà une grande.
Roman incendiaire sur les violences policières, « Deux Secondes d'air qui brûle » met le feu aux idées reçues sur les quartiers et devrait enflammer la rentrée littéraire.
Diaty Diallo donne à lire une des bombes de la rentrée.
Un roman agile emmené par une langue qui cavale.
Révélation de la rentrée, Diaty Diallo, 33 ans, signe Deux Secondes d'air qui brûle. Poésie et rythmes rap pour un récit qui pulse et qu'on n'oublie pas.
Puissant et remarquable : tels sont les mots qui viennent immédiatement à l’esprit pour qualifier le premier roman de Deux secondes d’air qui brûle.