Toutes les journées se sont toujours articulées autour de la même chose : le piano.
Pour Ethel, il n’y a pas d’autre réalité que celle de jouer. Le seul moment où elle existe, vraiment.
Mais il a suffi de cette répétition ratée Salle Pleyel pour que ses certitudes s’écroulent.
Pour la première fois, elle n’était pas là.
Le vertige la saisit.