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Avis
Auteurs
Tombeaux - Annette Wieviorka
Télérama -
Valérie Lehoux
« Ce livre est bien plus qu'un hommage, c'est un accomplissement. »
« Ce livre est bien plus qu'un hommage, c'est un accomplissement. »
L'Histoire
« Un exercice virtuose d’ego-histoire. »
« Un exercice virtuose d’ego-histoire. »
Télérama -
Valérie Lehoux
« Un tourbillon narratif brillant. »
« Un tourbillon narratif brillant. »
Télérama -
Nathalie Crom
« Un bouleversant mémorial érigé à la mémoire des siens. »
« Un bouleversant mémorial érigé à la mémoire des siens. »
Le Temps -
John E. Jackson
« L’historienne française Annette Wieviorka offre à ses aïeux d’origine polonaise une sépulture de papier pour les arracher à l’oubli. Un hommage vibrant qui retrace l’exil et la quête d’appartenance. »
« L’historienne française Annette Wieviorka offre à ses aïeux d’origine polonaise une sépulture de papier pour les arracher à l’oubli. Un hommage vibrant qui retrace l’exil et la quête d’appartenance. »
La Libre -
Christian Laporte
« Annette Wieviorka marque la rentrée littéraire par un superbe travail de mémoire sur sa propre famille. »
« Annette Wieviorka marque la rentrée littéraire par un superbe travail de mémoire sur sa propre famille. »
Librairie Le Passeur de l'Isle (L'Isle-sur-la-Sorgue) -
Maria Ferragu
« Depuis des décennies, Annette Wieviorka a dédié son travail d’historienne à l’histoire de la Shoah et au devoir de mémoire, donnant à comprendre l’impensable. Dans ce nouveau livre, elle poursuit cette recherche mais elle la place sur le terrain de l’intime avec cette « autobiographie de sa famille ». [...] D’un récit personnel, détaillé, chronologique et passionnant, elle fait pourtant un texte universel qui résonne d’autant plus fort qu’il se lit aujourd’hui à la lumière d’une Europe bousculée par des tensions économiques et une guerre pas si lointaine. »
« Depuis des décennies, Annette Wieviorka a dédié son travail d’historienne à l’histoire de la Shoah et au devoir de mémoire, donnant à comprendre l’impensable. Dans ce nouveau livre, elle poursuit cette recherche mais elle la place sur le terrain de l’intime avec cette « autobiographie de sa famille ». [...] D’un récit personnel, détaillé, chronologique et passionnant, elle fait pourtant un texte universel qui résonne d’autant plus fort qu’il se lit aujourd’hui à la lumière d’une Europe bousculée par des tensions économiques et une guerre pas si lointaine. »
Je chante et la montagne danse - Irene Solà
Librairie Fracas (Lorient)
« Irene Solà est une sorcière. Elle enchante le vivant, ses animaux, ses montagnes, ses éclairs et ses orages. Elle peuple ses mondes de personnages puissants, parfois extrêmement fragiles, parfois terriblement humains et faillibles, voire même à d'autres reprises dotés de pouvoirs, sans jamais être spectaculaires, qui viennent se ranger dans une tradition folklorique ancienne, de ces histoires que l'on aime à se raconter dans des contes sans âges. Mettez Sergueï Essénine, Marc Graciano, Mercè Rodoreda, et Tove Jansson autour d'une table. Claro rentrerait de temps en temps dans un nuage de fumée histoire de trancher dans le lard des échanges, accompagné de tout ce que Gabriela Cabezón Cámara a pu écrire de plus punk. Tandis que l'ombre serait habitée par Max Porter et Ariadna Castellarnau. Ce livre est un enchantement, un sort qui nous est jeté, tout en étant ancré dans une grande modernité. Sa langue versatile peut se faire poétique, hésitante, tranchante, douce, extrêmement détaillée et sensible. Ce livre appartient à notre époque, et renvoie également aux récits ancestraux, à la création du monde, et au souffle premier. C'est une fresque qui se dévore, accessible à toutes et tous, pour peu que ses montagnes ne vous effraient pas. »
« Irene Solà est une sorcière. Elle enchante le vivant, ses animaux, ses montagnes, ses éclairs et ses orages. Elle peuple ses mondes de personnages puissants, parfois extrêmement fragiles, parfois terriblement humains et faillibles, voire même à d'autres reprises dotés de pouvoirs, sans jamais être spectaculaires, qui viennent se ranger dans une tradition folklorique ancienne, de ces histoires que l'on aime à se raconter dans des contes sans âges. Mettez Sergueï Essénine, Marc Graciano, Mercè Rodoreda, et Tove Jansson autour d'une table. Claro rentrerait de temps en temps dans un nuage de fumée histoire de trancher dans le lard des échanges, accompagné de tout ce que Gabriela Cabezón Cámara a pu écrire de plus punk. Tandis que l'ombre serait habitée par Max Porter et Ariadna Castellarnau. Ce livre est un enchantement, un sort qui nous est jeté, tout en étant ancré dans une grande modernité. Sa langue versatile peut se faire poétique, hésitante, tranchante, douce, extrêmement détaillée et sensible. Ce livre appartient à notre époque, et renvoie également aux récits ancestraux, à la création du monde, et au souffle premier. C'est une fresque qui se dévore, accessible à toutes et tous, pour peu que ses montagnes ne vous effraient pas. »
Stupéfiant Moyen-Orient - Jean-Pierre Filiu
L'Obs
« Dans ce livre, une étude passionnante sur la production et la consommation de drogue dans cette région, de l'Antiquité à nos jours, l'historien Jean-Pierre Filiu met à mal bien des idées reçues. »
« Dans ce livre, une étude passionnante sur la production et la consommation de drogue dans cette région, de l'Antiquité à nos jours, l'historien Jean-Pierre Filiu met à mal bien des idées reçues. »
Film fantôme - Patrice Pluyette
L'Humanité -
Sophie Joubert
« Comme Musset écrivant un spectacle dans un fauteuil, Patrice Pluyette projette son cinéma idéal dans la tête du lecteur, en toute liberté. Un réjouissant hommage aux pouvoirs de la littérature. »
« Comme Musset écrivant un spectacle dans un fauteuil, Patrice Pluyette projette son cinéma idéal dans la tête du lecteur, en toute liberté. Un réjouissant hommage aux pouvoirs de la littérature. »