Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.
Le Monde des livres - Gladys Marivat « Cinquante ans après sa parution, Le Devoir de violence n'a rien perdu de son aspect baroque et audacieux. Par son style foisonnant et son rythme véloce ensuite, qui passe de l'épopée au réalisme, de la barbarie à l'érotisme. Il est difficile de ne pas être ébloui face à ce palimpseste qui tente de saisir l'entiéreté de l'aventure humaine, en faisant résonner les textes religieux, la voix des griots et des chroniqueurs, et tout un pan de la littérature moderne. »
monmoiversifie - Babelio « Lors de sa parution, ce livre a été salué par la critique. La plupart des romans africains précédents avaient dépeint l'Afrique précoloniale comme une époque glorieuse, entièrement détruite par l'arri... » Lire plus
Meps - Babelio « Je l'ai souvent dit dans mes critiques, les chemins par lesquels les livres arrivent à nous sont souvent originaux et intéressants à étudier. Ce Devoir de violence était présent à mon esprit depuis ma... » Lire plus
mohamedabdallah-obakar - Babelio « À la question de savoir en quoi le choix de Ouologuem pour le prix Renaudot était « très intéressant et très sympathique », Roger Grenier (alors membre du jury) répond au micro de Colette Godard que «... » Lire plus
Carteroutiere - Babelio « Un livre difficile à décrire. J'aurais deux images : la première est celle d'une galerie de tableaux avec tout un ensemble de tableaux petits ou grands, certains montrant des scènes et d'autres plus f... » Lire plus
isabellelemest - Babelio « Le devoir de violence, quel choc !
Brûlot iconoclaste, objet romanesque non identifié, savant patchwork de références littéraires, à travers ce roman composite mais à la très forte unité de ton et d... » Lire plus
MandenMassa - Babelio « Un chef d'oeuvre, politique, introspectif, difficile à lire pour ma part mais une lecture nécessaire.
J'ai acheté ce classique il y a 3 ans, commencé la lecture plusieurs fois sans jamais la terminer... » Lire plus
BilawharYudasaf - Babelio « Un choc. Un des meilleurs livres que j'ai jamais lus. Tant pis pour les polémiques qui ont entouré la première publication, et qui ont bouleversé le destin étrange de l'auteur. Merci d'avoir sorti ce ... » Lire plus
dido600 - Babelio « Seulement en 2003, après 30 ans d'absence dans les librairies, réédition de cette oeuvre majeure de la littérature dite africaine. Un livre (le premier, le seul … puis le silence) qui a beaucoup dé... » Lire plus
Charybde2 - Babelio « En 1968, par un Malien, la première dénonciation de la complicité des notables africains dans les méfaits de l'esclavage.
Lorsque le malien Yambo Ouologuem publie "Le devoir de violence" en 1968, i... » Lire plus
Le Figaro magazine - Nicolas Ungemuth « A. G. Lombardo signe à près de 50 ans un premier roman démentiel dans lequel son sens du détail ratiboise tout: son Ulysse chausse des Keds tandis que les radios charrient Martha & The Vandellas et John Coltrane; d'ailleurs, il s'appelle Monk... »
Le Figaro - Bruno Corty « Graffiti Palace est une pure merveille que l'on doit au talentueux auteur-traducteur-éditeur Pierre Demarty. C'est L'Odyssée version XXIe siècle. »
Le Monde des livres - Julie Clarini « Dans ce premier roman, sombre et hyperbolique, A.G. Lombardo, dont la connaissance du L.A. des sixties touche à l'érudition, parvient à montrer comment l'art urbain et l'émeute ne sont qu'un seul et même moyen de refuser l'ordre du monde. »
Les Inrockuptibles - Léonard Billot « Graffiti Palace claque comme la réécriture de l'Odyssée. »
PranksterDH - Babelio « Si comme moi vous avez le coeur qui balance entre un vieux tag sur un mur défoncé d'une ruelle de Crown-Heights et la sémiologie de papa Barthes, embarquez dans l'Odyssée des émeutes de Watts à Los Ang... » Lire plus
JOACHIM FLOREN - Librairie des Halles, Niort « À travers une écriture incisive et des coups de théâtre incessants, Le But du jeuest construit comme une machine aux rouages implacables, qui nous plonge dans l’aberration judiciaire et les addictions. »
JOACHIM FLOREN - Librairie des Halles, Niort « À travers une écriture incisive et des coups de théâtre incessants, Le But du jeuest construit comme une machine aux rouages implacables, qui nous plonge dans l’aberration judiciaire et les addictions. »
Mome35 - Babelio « Le but du jeu est un pavé de 764 pages. Mais si parfois le scenario paraît tomber dans la redondance, si en tant que lecteur vous avez envie de lâcher l'intrigue, il est surtout d'un grande densité li... » Lire plus