Ils en parlent

Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.

Avis

Auteurs

À l'ombre d'Outreau - Jean Songe

France Culture - Antoine Garapon
« À réécouter. Jean Songe était invité sur France Culture - dans l'émission Esprit de justice d'Antoine Garapon - pour évoquer l'affaire d'Outreau vingt ans après et les leçons à tirer de ce désastre judiciaire, aux côtés de Frédéric Valandré. Le podcast : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/esprit-de-justice/l-affaire-d-outreau-vingt-ans-apres-3243333 »

Le Capitalisme de l'apocalypse - Quinn Slobodian

Livres Hebdo - Patrice Bollon
« Un livre très actuel quand on sait le rôle central que devrait jouer Elon Musk dans le gouvernement Trump. Le capitalisme du futur sera sauvage ou ne sera pas, renvoyant à la préhistoire Mrs Thatcher et Ronald Reagan. Accrochez vos ceintures. »
La Croix l'Hebdo - Olivier Tallès
« Il nous fait voyager dans le temps et l’espace, tenant en haleine le lecteur même peu au fait de l’économie et de ses théories. Son livre s’adresse à tous ceux qui veulent comprendre les discours des penseurs de l’ultra-capitalisme et qui s’intéressent aux mondes rêvés des libertariens. Il ravira plus largement les amateurs d’actualité internationale. »
Le Monde - Pascal Riché
« À travers le tableau qu’il peint, l’historien déroule une histoire des idées, de celles qui font fantasmer un groupe d’intellectuels et d’entrepreneurs anarcho-capitalistes. »
Médiapart - Romaric Godin
« Car la vraie leçon de ce livre et du précédent, c’est que le lien naturel entre capitalisme et démocratie, qui a constitué le coeur de l’idéologie dominante dans les années 1990 et 2000, dans la foulée du fameux texte de Francis Fukuyama sur la « fin de l’histoire », apparaît aujourd’hui comme une illusion funeste. Les efforts des libertariens comme des néolibéraux ont consisté principalement à faire échapper le capitalisme de la démocratie. Pour saisir la vision du monde de ceux qui ont porté et entourent aujourd’hui Donald Trump, l’ouvrage de Quinn Slobodian “Le Capitalisme de l’apocalypse ou le rêve d’un monde sans démocratie” (Seuil), qui vient de paraître, est une lecture indispensable. »
Les Echos - Guillaume de Calignon
« L’auteur nous offre un voyage saisissant à travers cette mouvance intellectuelle. On y croise quelques vrais penseurs, des milliardaires, des aventuriers et des dictateurs. Toute ressemblance du « Capitalisme de l’apocalypse » avec des personnes existantes de l’autre côté de l’Atlantique à la Maison Blanche aujourd’hui est évidemment fortuite.  »
Libération - Sébastien Farcis
« Dans son nouveau livre, l’historien canadien poursuit sa critique du néolibéralisme en montrant comment les milliardaires du monde entier, à commencer par Musk et tous ceux qui entourent Donald Trump, créent des territoires qui échappent aux règles des Etats. Il estime qu’il est temps pour l’Union européenne de serrer les dents.Ils ont deux stratégies : d’un côté créer des institutions qui limitent ce que les Etats-nations peuvent faire de manière autonome, à travers le droit supranational (…) ; l’autre solution consiste à réduire les capacités d’action des Etats en scindant les territoires. »
Le Figaro - Charles Jaigu
« Le canadien Quinn Slobodian, professeur à l’université de Boston, nous raconte l’utopie d’une sécession libertarienne par la création de micro-États pour super-riches. Il y a juste un problème : Donald Trump les trouve très intéressants.Nous ne sommes pas face à une dérive néolibérale, mais à une tentation impériale du capitalisme sauvage. »
France Inter - Thomas Snegaroff
« Il est rare qu’un livre d’histoire vienne éclairer à ce point l’actualité. »
France Inter - Natacha Polony
« J’avoue que c’est la première fois que je lis un portrait aussi précis et aussi passionnant de la véritable nature du néolibéralisme. Je pense que ce livre est indispensable justement parce qu’à travers des exemples précis qui décrivent ces zones franches et ces façons de détruire les États de l’intérieur, vous arrivez à montrer ce qui était en germe. »
France Culture - Guillaume Erner
« Un ouvrage passionnant et stimulant. »
France Culture - Marc Weitzmann
« Un livre qu’il faut lire pour comprendre le monde dans lequel on est entré au début de ce siècle. »
L'Humanité Dimanche - Diego Chauvet
« Les zones économiques spéciales façonnent aujourd'hui l'ordre mondial. L'historien canadien Quinn Slobodian analyse le fonctionnement de ces paradis fiscaux et la place de premier plan qu’ils occupent à la faveur des victoires idéologiques des libertariens radicaux. »
Philosophie Magazine - Alexandre Lacroix
« Vous croyez que la carte du monde est composée de nations aux frontières bien nettes ? Erreur, explique l’historien canadien Quinn Slobodian, dans un livre passionnant, Le Capitalisme de l'apocalypse. Sous l’influence des penseurs libertariens, la carte a été perforée et les « zones d'exception » se sont multipliées, dans le but d'affranchir les intérêts économiques des contraintes démocratiques.  »
Le Canard enchaîné - Frédéric Pagès
« Les nouveaux « Tontons flingueurs » sont arrivés. Mais ils ne font rire personne. Ils sont « libertariens », « anarcho-capitalistes », ils ont les moyens de leurs lubies, à l’instar d’un Peter Thiel, milliardaire proche d’Elon Musk, trumpiste de la première heure, convaincu que « nous vivons les derniers jours d’un monde très ancien » : l’effondrement des Etats nationaux. « Crack-Up Capitalism » : le titre original de ce livre passionnant signifie littéralement « capitalisme à fragmentation ». L’ennemi à pulvériser, c’est l’état nation, créateur d'impôts et distributeur de subventions pour la plèbe. La solution, pour les riches, c’est de faire sécession…  »
Le Monde Diplomatique - Gilles Lucas
« "L’historien Quinn Slobodian affirme ici que nombre de théoriciens, économistes, architectes, tous partisans des thèses libertariennes, travaillent – dans le sillage des conceptions économiques de Milton Friedman, chantre du néolibéralisme – à inventer et à construire un monde où les processus décisionnels ne seraient plus entravés par des élections démocratiques.""L’auteur nous entraîne de Hong-Kong à Dubaï, en passant par Londres, Singapour et le Liechtenstein, dans diverses « zones économiques spéciales » où semble déjà réalisé ce que les fondamentalistes du marché voient comme un « rêve » de liberté." »
BFM Business - Emmanuel Lechypre
« « Ça décoiffe. L’auteur est un professeur d’histoire aux Etats-Unis qui est spécialiste de l’analyse et surtout de la critique du néolibéralisme, et il nous invite cette fois-ci dans cet ouvrage à un voyage – voyage physique et voyage intellectuel. » / « Ce qui est intéressant dans cet ouvrage, c’est sa critique, et critique érudite, de la théorie libertarienne, et plus précisément de la théorie anarchocapitaliste. »  »

De proche en proche - Emma Rothschild

RTBF
« Emma Rothschild se lance dans l'aventure et plonge le lecteur dans une enquête historique de grande ampleur, sur cinq générations. [...] Qu'est-ce que le destin d'une famille ordinaire peut nous dire sur les mobilités sociales et les mutations économiques d'un long XIXe siècle ? Beaucoup, c'est le pari des romanciers. C'est aussi celui que relève avec brio Emma Rothschild, en historienne. »
Libération - Jean-Yves Grenier
« "Le travail d’historienne d’Emma Rothschild n’est pas sans rappeler celui des romanciers naturalistes du XIXe siècle, tels Balzac ou Zola… un formidable pouvoir d’évocation."  »
En attendant Nadeau - Rose-Marie Lagrave
« « Cet ouvrage est une performance, au sens artistique du terme. Par sa méthode, ses sources, l'étendue du réseau familial élargi appréhendé sur cinq générations, il intrigue par sa singularité car il ne ressemble à aucun autre livre d'histoire, si ce n'est peut-être, par certains aspects, au Monde retrouvé de Louis-François Pinagot d'Alain Corbin. » »

L'Avenue de verre - Clara Breteau

Version Femina - Anne Michelet
« "Ce premier livre sur les racines familiales touche profondément." »
Le Figaro littéraire - Thierry Clermont
« [Littérature : les nouveaux talents de la rentrée] Clara Breteau a su, dans cette autobiographique ‘Avenue de verre’, composer un roman délicat, élégant, mené d'un même souffle distillé mezzo voce. (…) son écriture s'attarde à merveille sur les détails, comme sur les personnages ou les écarts de mémoire. (…) Saisissant.  »
Collateral media - Johan Faerber
« Beau et poignant. (...) Entre rétrospection et introspection se dit un amour filial mais aussi bien un trauma colonial sensible. (...) Déjà l’une des grandes révélations de 2025. »
Libération - Claire Devarrieux
« Les places nettes, à terme, se peuplent de fantômes. Le compagnon d’Anna a beau lui rappeler qu’elle est française, ‘sa quête pas autre chose qu’une fiction des origines’. Reste que quelque chose d’algérien et d’inconnu lui a été transmis, et que de ce manque, la littérature s’est emparée. »
La Croix - Christophe Henning
« Un premier roman sensible et généreux. »
Actualitte - Valentine Costantini
« À travers ce roman, Clara Breteau tisse, avec délicatesse et élégance, un récit intimiste. Derrière les silences, au-delà des absences, la vérité se dévoile. Les pages se lisent comme une évidence. C'est beau, c'est juste, tout en nous mettant face à des sujets qu'il est facile d'ignorer. »