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Avis

Auteurs

Le Bel Obscur - Caroline Lamarche

Libération - Claire Devarrieux
« "Qu'est-ce que le déni quand il s'installe ? Le « maquillage du désastre » ? Ou bien « une noble qualité, à savoir la capacité de mesurer les avantages d'une situation » lorsque celle-ci laisse à désirer ? C'est le genre de question que se pose cet élégant roman." »
Livres Hebdo - Olivier Mony
« "Incontestablement l'un des sommets de son œuvre, ce « Bel Obscur », hanté par les ombres du souvenir, du secret et des douleurs tues, répond exactement au programme de son beau titre blanchotien. Une énigme pleine de nuit et de fascination." »
Femme Actuelle - David Lelait-Helo
« "Un texte d'amour et de liberté. Un récit très élégant." »
En attendant Nadeau - Gabrielle Napoli
« "Caroline Lamarche explore, dans cette langue à la précision lumineuse qu'on lui connaît, les méandres d'un grand amour et de ses possibles défaites, l'amour intense qui unit la narratrice et Vincent, son époux, et qui se révèle impossible. [...] "Le Bel Obscur" est le récit merveilleusement délicat et douloureux du destin que cette femme s'est construit, et qu'elle éclaircit enfin, brisant "la mécanique du déni, ce maquillage du désastre"." »
Transfuge - Damien Aubel
« "Avec son allure souple et libre, son acuité qui n'épuise jamais l'étrangeté, le nouveau roman de Caroline Lamarche fait entendre une tonalité singulière. Et prend place parmi les meilleurs livres de cette rentrée." »
La Libre Belgique - Marie-Anne Georges
« "Un roman plein de tolérance, splendide et envoûtant." »
France Inter - Lilia Hassaine
« "Un récit puissant sur la mémoire, le secret et la force de la littérature pour redonner une place aux effacés." »
La Tribune Dimanche - Juliette Einhorn
« "L'écrivaine belge crée, entre un aïeul sorti de l'ombre et elle-même, un jeu de miroirs kaléidoscopique." »
Le Point - Claude Arnaud
« "Caroline Lamarche tire de cette situation impossible un livre vibrant: une femme fière persiste à assumer l'inacceptable, comme si elle savait qu'un livre, un jour, lui redonnerait les pleins pouvoirs sur une situation qui lui aura échappé." »
L'Humanité - Sophie Joubert
« "Il existe peu de livres, romans ou essais, qui, dans la sphère francophone, se saisissent du sujet des épouses d'homosexuels, souvent victimes collatérales de l'homophobie. C'est ce point de vue que choisit de développer Caroline Lamarche avec une lucidité, une liberté qui bouscule les convenances, les représentations de la famille et de la conjugalité." »
La Croix - Christophe Henning
« "Caroline Lamarche enquête pour retrouver un ancêtre disparu, tout en évoquant le naufrage de son propre couple" »
Les Echos - Marceau Cormerais
« "Ni énième roman d'archive, ni huis clos conjugal, le roman s'avance par sa forme autant que son contenu comme un geste littéraire d'une grande liberté. Savamment écrit et finement mené, c'est l'un des grands textes de l'année." »
Paris Match - Marie Laure Delorme
« "L'auteure écrit un roman intime, un récit chuchoté, une enquête familiale. Les chapitres sont courts. L'écriture baisse la garde devant la singularité des situations. On passe de la légèreté à la gravité." »
Librairie Compagnie
« Caroline Lamarche relate ici son enquête sur l'un de ses aïeuls. A partir d'une photographie qui l'intrigue, elle entame des recherches qui lui révèleront bien plus qu'elle ne soupçonnait. Elle réussit alors  un récit au ton enlevé et plein d'élégance, tout en évoquant une part très intime de sa propre vie. Cependant, cette dimension autobiographique n'en amoindrit pas pour autant la portée collective et universelle de ce Bel Obscur. »
Librairie Nordest (Paris)
« "Mêlant travail d'archives, enquête familiale et déni, une femme tente de reprendre son destin en main. Un style bouleversant pour un texte troublant." »
Les Caractères (Paris)
« "Oscillant entre deux histoires et deux temporalités, la plume délicate et érudite de Caroline Lamarche interroge la notion d'amour, de couple, de famille. Un texte émouvant où l'on croise Beauvoir, Melville ou Sackville-West." »
À la page (Vichy)
« "Un très beau texte tout en pudeur et sobriété pour tenter de dire l'indicible." »
EnitCirq - Babelio
« j'ai choisi de lire ce roman essentiellement car l'autrice est une compatriote. Ce n'est qu'en cours de lecture que j'ai appris qu'il était en lice pour le Prix Goncourt 2025. Qu'il remporte ce prix ... » Lire plus
bege2002 - Babelio
« J'espère que ce livre percera l'obscurité. Il risque d'être noyé dans la masse et tomber dans l'oubli. "Au bout de sept ans de mariage, un mari aimant apprend à sa femme qu'il est homosexuel. Un h... » Lire plus
majero - Babelio
« Redoutant un remake de 'Mon oncle d'Australie', j'ai été surpris puis bouleversé par la compassion de l'auteure pour Edmond, ce grand oncle banni de la généalogie familiale pour son homosexualité, une... » Lire plus
Ileauxtresors - Babelio
« En ouvrant le Bel Obscur, je ne savais pas où j'avais mis les pieds mais j'ai d'emblée soupesé ces pages gorgées de nostalgie, de solitude et d'une colère dont fera tragiquement les frais un buddleia ... » Lire plus
isabelleisapure - Babelio
« Je ne suis pas sûre que j'aurais croisé la route de Caroline Lamarche si le jury Goncourt n'avait eu la lumineuse idée de mettre son roman « Le bel obscur » sur la liste des livres en lice pour le pre... » Lire plus
PatriceG - Babelio
« Le Bel obscur (2025) Caroline Lamarche Une impatience à renaître C'est aussi vouloir tirer avantage d'une situation fort compromise. On s'en amuserait presque de ce jeu malin .. En route po... » Lire plus
Verdure35 - Babelio
« « Un couple », s'il peut prendre maintes formes, il peut cacher aussi beaucoup de secrets. Le couple disséqué ici par l'auteure(élue à l'Académie royale de littérature française de Belgique)est à pr... » Lire plus
Matatoune - Babelio
« Trois documents et une photographie retrouvés dans un coffre au moment de vider une maison familiale, voici le début de ce Bel Obscur, treizième roman de Caroline Lamarche. Ce livre, je l'ai vu, noté,... » Lire plus
hcdahlem - Babelio
« Une famille très singulière Caroline Lamarche signe un roman aussi troublant qu'original dans lequel elle tisse un fil entre deux destins séparés par plus d'un siècle. : celui d'Edmond, ancêtre du ... » Lire plus
Fifibrinda - Babelio
« Quelque temps après la mort de son père, la découverte d'une grande enveloppe Agfa lance la narratrice sur les chemins entrelacés de l'enquête généalogique et du récit autobiographique. Un portrait de... » Lire plus
IngridCaroff - Babelio
« Un récit atypique entre recherche généalogique et mari homosexuel. Dis comme cela, c'est étonnant mais en fait, les deux histoires se marient avec une totale fluidité. Le point commun, la narratrice, ... » Lire plus
Nathv - Babelio
« RL2025#9 Coup de coeur ! Je remercie Babelio - via sa masse critique - et les Editions du Seuil de m'avoir permis de découvrir ce roman de Caroline Lamarche. Le Bel Obscur est une double histoire d... » Lire plus
Dominette - Babelio
« J'ai vraiment beaucoup aimé le nouveau roman de Caroline Lamarche. J'ai admiré l'ouverture d'esprit, le courage et l'amour de cette épouse qui découvre l'homosexualité de son mari. Parallèlement, elle... » Lire plus
87fanny91 - Babelio
« Un roman qui raconte comment le parcours de nos aïeux peut nous éclairer sur notre présent et nous libérer. « Le Bel Obscur », c'est Edmond, un aïeul de la narratrice mort en 1865 dont elle découvre ... » Lire plus
nathavh - Babelio
« C'est dans un vieux coffre qu'elle découvre un ancêtre oublié. Edmond est effacé dans l'arbre généalogique de la famille de sa mère. Tout ce que l'on sait c'est qu'il était ingénieur des mines comme... » Lire plus
Cannetille - Babelio
« Sans aucun doute le plus personnel de l'auteur, ce roman à forte consonance autobiographique tisse avec une délicatesse troublante le récit d'une femme confrontée à la révélation de l'homosexualité de... » Lire plus
valaire - Babelio
« La narratrice part sur les traces d'un de cet aïeul, disparu jeune dont elle souhaite mieux connaitre l'histoire. En parallèle, on suit sa vie, ses amours contrariés car son mari qu'elle chérit profon... » Lire plus
gerry87 - Babelio
« Voici un roman à la double histoire : celle d'une femme qui fait des recherches sur un cousin éloigné « sorti » de sa famille et sa propre vie avec un mari ayant « changé de bord ». Si à l'époque act... » Lire plus
adtraviata - Babelio
« Une maison volante qui poursuit sa route sans rien abîmer, et qui réussit à ne pas s'écraser et à n'écraser personne… c'est un rêve récurrent de la narratrice de ce roman (qui a beaucoup de points com... » Lire plus
Aveco - Babelio
« L'écriture de Caroline Lamarche, belle, claire et précise, rend parfaitement la sidération et la confusion ressenties par la narratrice face à l'homosexualité de son époux, l'homme de sa vie. Cette s... » Lire plus
4bis - Babelio
« C'est la première fois que je lis Caroline Lamarche et c'est bien dommage si j'en crois tout à la fois le plaisir que j'y ai pris et l'impressionnante bibliographie que cette autrice a déjà derrière e... » Lire plus

Les Fantômes de l'île de Peleliu - Bruno Cabanes

France Inter - Ali Baddou
« "Un des livres marquants de cette rentrée, que je vous recommande chaleureusement." »
L'Histoire
« "Ce livre particulièrement bien écrit laisse à son lecteur une curieuse impression, celle d'avoir approché l'enfer. Un récit halluciné. Attention, chef-d'oeuvre !" »
Le Masque et la plume - Patricia Martin
« « Une enquête de terrain extraordinairement bien écrite, de façon très personnelle, très fouillée sur le plan historique. » »
Télérama - Gilles Heuré
« « Dans une passionnante enquête, l'historien revient sur les lieux d'une bataille incroyable. Il en trace un tableau précis, marqué par une empathie palpable pour les combattants. » »
lehibook - Babelio
« .Cet ouvrage récent présente une approche de l'histoire chère à mon coeur : à partir d'un évènement précis (la bataille de Peleliu entre américains et japonais pendant la seconde guerre mondiale ) l'a... » Lire plus
fonsaluste71 - Babelio
« En septembre 1944, la 1re division de marines des États-Unis, après avoir débarqué sur l'île de Peleliu, se heurta à une résistance acharnée. Contrairement aux attentes du haut commandement américain ... » Lire plus
marcbali - Babelio
« Aujourd'hui je vais évoquer Les fantômes de l'île de Peleliu récit historique passionnant de Bruno Cabanes. Il s'empare d'un épisode peu connu de la guerre du Pacifique pendant la seconde guerre mondi... » Lire plus

Savoir ou périr - Bernard Lahire

Livres Hebdo - Laurent Lemire
« « À un moment où la recherche est mise à mal et où une guerre contre la science est menée aux États-Unis, cet ouvrage de Bernard Lahire apparaît comme essentiel, dans ce qu'il nous dit du savoir, de notre rapport à lui et de la manière de le transmettre. »  »
Libération - Adrien Naselli
« "Ce texte combatif est plus qu’un plaidoyer pour la recherche, il est un appel à la rébellion, une invitation à révolutionner nos façons de faire avancer et de transmettre le savoir." »
Télérama - Marion Rousset
« « "Savoir ou périr", telle est la question sans concession que pose le sociologue Bernard Lahire dans son dernier essai, plus concis qu’à l’accoutumée. Cultivant un intérêt ancien pour les sciences du vivant, il y tisse des liens entre l’espèce humaine et le reste du règne animal, tous animés d’un même besoin vital de connaissances. »  »
Médiapart - Mathilde Gonaec
« « Un livre en forme d'alerte, sur notre capacité à produire la science nécessaire pour affronter les défis climatiques, économiques et démocratiques de demain ».  »
Les Inrocks - Jean-Marie Durand
« « Contre la vision à courte vue, qui réduit l'enseignement et le savoir à leur seule rentabilité économique, Bernard Lahire invite à retrouver le « don d'émerveillement » ».  »
L'Humanité - Cynthia Fleury
« « Bernard Lahire reprend le chemin de Marc Bloch et d'Alexandre Grothendieck pour défendre le « savoir » comme pilier constitutif de l'espèce humaine. Homo sapiens sapiens, entendons-le de la façon la plus littérale possible. Pas d'humanité sans savoir.»  »
L'Humanité Magazine - Nicolas Mathey
« « Dérive obscurantiste, mainmise libérale de l'éducation, déni climatique... De toutes parts, le savoir et sa diffusion sont menacés. Avec "Savoir ou périr", le sociologue Bernard Lahire nous invite à répondre aux attaques contre les sciences par une révolution pédagogique ». »
En attendant Nadeau - Alain Policar
« « Un livre nécessaire, à l'écriture aussi claire qu'élégante et à l'argumentation aussi rigoureuse que convaincante, à destination de tous et, tout particulièrement, de celles et ceux qui s'acharnent, depuis trop longtemps, à détruire (en toute conscience ?) le goût d'apprendre, autrement dit l'essence même de l'humanité » »
Quarto - Babelio
« — Péril en la demeure (bon à savoir) — Gallimard distribue des Tracts, le Seuil édite des Libelles. Kif-kif : un point de vue fort et une expression brève. Ceci-dit, Savoir ou périr est davantage... » Lire plus
gflorens84 - Babelio
« Le sociologue Bernard Lahire nous livre ici une réflexion ramassée en quelques dizaines de pages sur la mise en danger de l'enseignement et de la recherche par les politiques actuelles, et les conséqu... » Lire plus
phbm - Babelio
« Court et percutant, Savoir ou périr est un manifeste vibrant en faveur du savoir, contre des logiques purement gestionnaires et déconnectées de la nature profonde de la science et de l'enseignement. D... » Lire plus

La Culture du féminicide - Ivan Jablonka

Libération - Valérie Bloch-Lainé
« "Un tableau inédit et documenté de la culture du féminicide dans laquelle nous baignons depuis le Moyen Age." »
Télérama - Copélia Mainard
« "Une cohérence narrative et visuelle à l'histoire criminelle du féminicide." »
Les Inrockuptibles - Jean-Marie Durand
« « Contre une esthétisation du féminicide, un essai fouillé, brillant et nécessaire sur la place qu’occupent les spectacles de femmes tuées ou agressées dans les films, et dans la culture en général ».  »
La Croix - Fabienne Lemahieu
« "Une lecture nécessaire pour sortir, peut-être, de notre ambivalence à l'égard du viol-meurtre et de cette fascination-répulsion qu'exerce sur nous le féminicide, tout à la fois « combattu et toléré ». [...] Passionnant sur la forme, édifiant sur le fond : « La Culture du féminicide » est à mettre entre toutes les mains, notamment masculines." »
AFP - Hugues Honoré
« « Ivan Jablonka ne se contente pas de décrire cette "culture", qui pour lui est aussi une "inculture", une forme d'ignorance de la réalité des violences contre les femmes. II esquisse la manière dont on peut en parler avec plus de justesse ».  »
Lire Magazine - Eugénie Bourlet
« "Prolongement de son enquête saluée par le Médicis « Laëtitia ou la fin des hommes », « La Culture du féminicide » d’Ivan Jablonka passe du fait social à sa représentation et montre la centralité culturelle du phénomène." »
Le Monde - Marc Olivier Bherer
« « Une traversée historique, agrémentée d'une écriture enlevée, qui fait œuvre de vulgarisation, sans se laisser aller à une plate condamnation du sujet. Ivan Jablonka propose son dépassement par l'essor d'une « contre-culture du féminicide »». »
Elle - Dorothée Werner
« « S'appuyant sur l'apport essentiel des études féministes menées ces dernières années, il démontre comment, « de la Bible à Netflix », (…), nous sommes abreuvés de récits de viols et de meurtres de femmes, réels ou symboliques. Les exemples qu'il en donne sont si nombreux qu'on en a le vertige, tant on prend conscience, en le lisant, de l'extrême familiarité de cet impensé » »
La Tribune Dimanche - Aurélie Marcireau
« « Le constat que dresse l'historien Ivan Jablonka dans La Culture du féminicide est sans appel : partout, les femmes sont non seulement tuées, mais « surtuées ». »
Le Soir - Lorraine Kihl
« « Une lecture vertigineuse et confrontante, qui met en lumière la profondeur historique de la haine des femmes, sa banalité... et son attrait ». »
La Libre Belgique - Geneviève Simon
« « Dans la culture du féminicide, Ivan Jablonka poursuit son travail d’historien et de citoyen invitant à repenser la masculinité et à s’interroger sur ce qu’est être un homme aujourd’hui ». »
France Culture / Questions du soir - Quentin Lafay
« « De la Bible, à Netflix, en passant par la chasse aux sorcières ou les films d’Hitchcock, les représentations des féminicides inondent notre culture. L’historien Ivan Jablonka en a compilé, retracé les systématismes pour montrer que ces occurrences ne doivent rien au hasard mais forment bien une culture propre, dit-il, du féminicide ». »
Madame Figaro - Minh Tran Huy
« « L’historien et écrivain Ivan Jablonka révèle comment, de la mythologie grecque à Hitchcock, l’art et les récits collectifs ont façonné une tolérance romantique au meurtre des femmes »  »
Biba - M.A.
« « Un essai limpide et documenté avec de belles reproductions (peintures, sculptures, photos et notes de synthèse) ». »
Kanellia - Babelio
« Cet essai se distingue par la rigueur et la profondeur de son approche. Ivan Jablonka, en historien, ne se contente pas d'exposer des faits : il analyse les racines culturelles, sociales et politiques... » Lire plus
loeilnoir - Babelio
« Si le terme de féminicide (meurtre d'une femme en tant que femme, en raison de son sexe) ne fait son entrée dans le dictionnaire Le Robert qu'en 2015, sa représentation dans les arts et cultures exist... » Lire plus
marcbali - Babelio
« Aujourd'hui je vais évoquer La culture du féminicide essai passionnant et dérangeant de l'historien Ivan Jablonka sous-titré Histoire d'une structure de pensée. Il est notamment l'auteur d'Un garçon c... » Lire plus