Ils en parlent

Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.

Avis

Auteurs

Les Échos - Philippe Chevilley
«  Avec “Trio”, William Boyd signe un retour en fanfare. Son nouveau roman est un modèle d'humour british, d'ironie cinglante et d'ingéniosité narrative. »

Paris Fantasme - Lydia Flem

Télérama - Fabienne Pascaud
« De fantasque et primesautier, Paris Fantasme devient alors doux et sombre comme un requiem. Que ni Mozart ni Fauré n'auraient renié.  »
Les Inrocks - Nelly Kaprièlian
« Paris Fantasme est une mine de récits qui se mêlent à sa vie. Un livre inclassable.  »
Le Figaro - Alice Ferney
« L'inquiétude du déraciné habite ce livre exigeant et profond, Paris Fantasme est une grande confidence détournée.  »
Télérama - Fabienne Pascaud
« Mêlant brillamment les genres, l’écrivaine, psychanalyste et photographe convoque des êtres qui, de siècles en siècles ont forgé l’âme de la rue Férou. »
Diacritik - Christine Marcandier
« Paris Fantasme tient de ce que la littérature peut produire de plus fort, de Balzac à Perec, de Benjamin à Kafka. Ce livre les convoque, il est tout cela et tout à fait autre, (nous) échappant toujours, s’étirant comme un « ruban de Möbius » urbain, sous l’œil d’une sismographe. »

Les Yeux de Milos - Patrick Grainville

Librairie Stendhal - Zoé
« Un très beau livre avec une écriture assez particulière tout de même, qui plaira aux amoureux de l'esthétique et aux nostalgiques des plages méditerranéennes. »

Résine - Ane Riel

Le Point - Sophie Pujas
« Traduit dans une vingtaine de langues, adapté au cinéma et lauréat de plusieurs prix littéraires scandinaves, ce conte noir est de ceux qu’on ne lâche pas. Fascinant et retors. »
Le Polar sonne toujours 2 fois - France Inter - Michel Abescat
« Un livre au charme terrifiant, un conte macabre entre poésie et horreur. »
L'Obs - Frantz Hoëz
« Un formidable conte vibrant et macabre sur l'amour destructeur d'un père paranoïaque, atteint de syllogomanie (accumulation pathologique d'objets), et l'innocence d'une fillette de 6 ans « un peu morte ». »
FNAC Bercy - Caroline Vallat
« Résine, un roman qui ne rentre dans aucune case mais qui t'explose en pleine figure et en plein cœur. »