Paru le 14/08/2019

Dix ans après La Solitude des nombres premiers, un adieu à la jeunesse, un bouleversant roman d’amour et d’amitié.

Chaque été, Teresa passe ses vacances chez sa grand-mère, dans les Pouilles. Une nuit, elle voit par la fenêtre de sa chambre trois garçons se baigner nus dans la piscine de la villa. Ils s’appellent Nicola, Bern et Tommaso, ce sont « ceux de la ferme » d’à côté, jeunes, purs et vibrants de désirs.

Teresa l’ignore encore, mais cette rencontre va faire basculer sa vie en l’unissant à ces trois « frères » pour les vingt années à venir, entre amours et rivalités, aspirations et désillusions. Fascinée par Bern, personnage emblématique et tourmenté, viscéralement attaché à la terre somptueuse où il a grandi, elle n’hésitera pas, malgré l’opposition de sa famille, à épouser ses idéaux au sein d’une communauté fondée sur le respect de la nature et le refus du monde matérialiste, à l’image de la génération des années quatre-vingt-dix, tiraillée entre le besoin de transgression et la soif d’appartenance, mais entièrement tendue vers l’avenir, avide de tout, y compris du ciel.

Traduit de l'italien par Nathalie Bauer

Né en 1982 à Turin, Paolo Giordano est docteur en physique théorique. À l’âge de 26 ans, avec son premier roman, La Solitude des nombres premiers, il est le plus jeune auteur à obtenir le prestigieux prix Strega : deux millions d'exemplaires vendus, une trentaine de traductions dans le monde. Il confirme ensuite son talent dans Le Corps humain et Les Humeurs insolubles.

Nathalie Bauer a publié plusieurs romans et traduit plus de cent ouvrages italiens, dont des œuvres de Mario Soldati, Primo Levi, Natalia Ginzburg, Marcello Fois et Michela Murgia.

« Paolo Giordano possède une écriture attentive et sensible qui va au cœur des choses sans craindre de décrire un sentiment aussi universel que l’amour et qui fait de Dévorer le ciel un livre extraordinaire. »

Huffington Post

« Un écrivain qui n’a pas peur de partir à la recherche de l’absolu. Et qui nous pousse à regarder au-delà des apparences. »

Io Donna

« Une suite à la hauteur de La Solitude des nombres premiers. Giordano parvient à créer un groupe de personnages complexes qui marqueront profondément le lecteur. »

Trouw

« Une réflexion captivante sur les rêves utopiques. »

Frankfurter Allgemeine Zeitung

Littérature étrangère
Romans
Collection : Cadre vert
Format : Broché
Pages : 464
EAN : 9782021220759 22.50 € TTC
Disponible en version numérique
Format : E-Pub
15.99 € TTC
EAN : 9782021220834

Les avis de lecture...

DNA F. M.

Dévorer le ciel

Dans ce roman « générationnel », l’auteur, Paolo Giordano, observe ses incandescents personnages avec une belle empathie.
Paris Normandie Célia Mick

Dévorer le ciel

Par des mots simples, Paolo Giodano parvient à raconter la violence des rapports humains favorisée par un monde contemporain sans repère.
La Libre Belgique G.Dt

Dévorer le ciel

Un roman d’absolu et de mélancolie, de désir de dévorer le ciel comme le dit le titre, avec des personnages émouvants, des scènes fortes, une écriture sensuelle et une narration qui maintient l’intérêt et le suspense jusqu’au bout.
Grazia Marguerite Baux

Dévorer le ciel

Sensible ou hypersensible, on ne sait plus où donner de la tête dans ce page-turner sur un monde brisé qui, comme un tube italien, s'enivre de désastre au son d'une belle voix cassée.
Le Journal du Dimanche François Vey

Dévorer le ciel

Une histoire ultra-contemporaine qui tout à la fois émeut et donne à réfléchir sur l’urgence climatique, allant bien au-delà du mélodrame sentimental ou du roman d’initiation.
La Grande Table Culture Olivia Gesbert

Dévorer le ciel

(Un) roman mélancolique et sensuel qui met à l'honneur les combats écologiques, l’amour et les croyances.
Avantages N. S.

Dévorer le ciel

Un roman d'apprentissage âpre, qui marque longtemps.
Le Monde Florence Courriol-Seita

Dévorer le ciel

Passant par la rage ou par la douceur, explorant la solitude et la soif d’absolu, questionnant la vérité (…), un récit d’amour et de fraternité d’une grande justesse. Un tourbillon d’utopies et de désillusions que l’on vit avec presque autant d’intensité que cette jeunesse elle-même.

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