Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.
Page des libraires - Marion Libouban-Noël « Ce premier roman fait entendre une voix ancrée dans son époque, une voix de poétesse, une voix de femme qui en a marre. [...] C'est un texte riche, nourri de culture littéraire et théâtrale, qui mérite d'être lu ou, encore mieux, entendu. Un livre comme une lutte qui n'est pas vaine, qui va vous donner envie d'essence et d'une petite mais puissante allumette." »
Le Nouvel Obs « « Un beau texte hybride entremêlé de souvenirs d’enfance. » »
La Croix - Ève Charrin « "Avec sensibilité et poésie, Anouk Schavelzon offre matière à réflexion." »
France Culture - Mathias Enard « "Le récit d'une journée perdue [...] dans une langue magnifique, dans laquelle s'alternent poésie en vers libres et descriptions lyriques.""Ce qui m'a touché, c'est la mystique qui se greffe dans la littérature urbaine et contemporaine." »
Le Nouvel Obs « « Une quête éperdue […] entre prose et poésie pour donner un sens nouveau au mot « liberté ». » »
France Culture - Mathias Enard « « Une langue magnifique où alternent poésie en vers libres et descriptions lyriques. »« Un texte novateur dans cette rentrée littéraire. » »
Télérama - Marine Landrot « "Une impressionnante créativité.""Une écriture aussi mouvementée que maîtrisée, qui coule de source jusqu'au bout.""Un western luxuriant et à fleur de peau, d'une appréciable rareté." »
Page des libraires - Jean-Baptiste Hamelin « "De nouveau, Corinne Royer, avec une écriture ciselée et poétique, donne corps, chair, âme et voix à ceux vivant dans les marges.""Avec une acuité intellectuelle incroyable, Corinne Royer s'empare de tant de sujets universels qu'il est peine perdue de les détailler ici.""Corinne Royer a choisi et s'offre, dans ce texte, une liberté d'écriture rare, permettant de marier burlesque et tragédie, rigueur et poésie.""Il faut absolument se laisser emporter par cette langue et cette prose libres." »
France 3 « "Tout l'art de Michael Cunningham, c'est de nous parler de personnages que l'on pressent comme simples, [...] mais qui s'avèrent en réalité très complexes." »
Les Echos - Philippe Chevilley « "Un très bel exercice de style, empreint d'une merveilleuse délicatesse""Tout à tour profond et raffiné, à la manière d'Henry James, brillant et léger comme du Fitzgerald, Michael Cunningham poursuit son parcours sur les crêtes de la littérature." »
Télérama - Nathalie Crom « « En narrant avec mélancolie l’érosion d’un mariage, l’auteur de The Hours fait bouger subtilement les lignes avec une vraie grâce. » »
Le Figaro Littéraire - Bruno Corty « « Le retour du maître de la finesse. » « Un sens de l’observation redoutable. » »