Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.
Le Figaro littéraire - Thierry Clermont « Ce qui est appréciable chez Juan Gabriel Vásquez, c'est son art de nous surprendre et de se renouveler à chaque livre.
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Le Figaro littéraire - Thierry Clermont « Avec Une rétrospective, l'écrivain colombien confirme sa place parmi les meilleurs auteurs de sa génération, tous continents confondus.
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Le Temps - Isabelle Rüf « Juan Gabriel Vásquez signe un roman fascinant sur l’aveuglement politique.
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Le JDD - Marie-Laure Delorme « La romancière Kaouther Adimi, née à Alger en 1986, surprend par une fresque intense sur ce que les guerres font aux hommes : de l’irrémédiable. L’auteure s’y livre aussi à une réflexion sur la littérature, à travers des personnes meurtries de devenir des personnages. Kaouther Adimi restitue les rêves et les chutes des vies âpres, courageuses, obscures. La lumière survient, mais jamais là où on l’attend.
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Lire magazine littéraire - Hubert Artus « Maniant le sens du détail autant que l'art de l'ellipse, Kaouther Adimi équilibre parfaitement les dimensions politiques et tragiques, les histoires et l'Histoire.
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Télérama - Fabienne Pascaud « Un roman subtil et touchant.
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Mediapart - Antoine Perraud et Faïza Zerouala « L'autrice algérienne Kaouther Adimi joue avec les codes de la littérature et s'interroge sur le pouvoir destructeur de cette dernière, dans un cinquième roman intelligent.
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Lire magazine littéraire - Gladys Marivat « Le pétillant et drolatique Patte blanche de Kinga Wyrzykowska embrasse la somme des folies de notre époque.
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Le Parisien week-end - Hubert Artus « Une voix narrative (sur)prenante.
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La Voix du Nord « Un premier roman déjanté et brillant. Il y a du Franzen là-dedans autant que du Chabrol. Mais aussi une patte très moderne qui égratigne férocement.
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Le Canard enchaîné - Fabrice Colin « « Un roman impassible à lâcher », clament souvent les textes de Quatrième de couverture. C'est, en général, très exagéré. Pas ici.
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