Ils en parlent

Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.

Avis

Auteurs

Le Monde après nous - Rumaan Alam

Le Canard enchaîné - Fabrice Colin
« « Un roman impassible à lâcher », clament souvent les textes de Quatrième de couverture. C'est, en général, très exagéré. Pas ici. »

Le Commerce des Allongés - Alain Mabanckou

Sud Ouest - Isabelle de Montvert-Chaussy
« L'écriture généreuse d'Alain Mabanckou tient, comme des fils de marionnette, d'un fouillis jamais emmêlé de récits et de métaphores, d'une verve incroyable, imagée, chatoyante, bruissante comme ce Grand Marché de Pointe-Noire tenu par les femmes qui grappillent des sous aux nantis pour nourrir les plus pauvres en haranguant les grincheux. »
Le Figaro littéraire - Mohammed Aïssaoui
« Mabanckou prouve, s’il en était besoin, avec ce Commerce des allongés, toute la grandeur de sa stature.  »
Le Figaro littéraire - Mohammed Aïssaoui
« Alain Mabanckou compose un grand roman. »
L'Obs - Grégoire Leménager
« Un imaginaire truculent. »
Le Monde - Kidi Bebey
« Dans son quatorzième roman, l’auteur congolais renoue avec la veine picaresque de « Mémoires de porc-épic » et « Verre cassé ». »

Vivance - David Lopez

Télérama - Christine Ferniot
« Vivance est une histoire de solitude, de fuite en avant et de liberté. David Lopez choisit une écriture puissante, sans respiration, sans blanc ni paragraphe. Avec lui pour guide, on donne un premier coup de pédale et on avance le nez dans le guidon. Pourtant, le romancier glisse du sentiment, de l'émotion, dans ces temps accélérés où nous traversons des cités sans lumière et des villages au soleil couchant. »
L'Éclaireur du Gâtinais
« Avec Vivance, la plume sans concession et aiguisée de David Lopez nous offre un retour dans la France périphérique de Fief , mais dans un no man's land toutefois plus verdoyant, peuplé d'êtres désœuvrés et vibrant de sensations. Un voyage singulier dans l'univers et le quotidien d'un « homme sans qualité », fait de drames miniatures, comme autant de motifs à l'échelle de vies minuscules. »
Télérama - Christine Ferniot
« Intrigant, mais surtout bouleversant, ce nouveau roman de David Lopez est d'abord un hymne à la liberté qu'offre l'écriture. »
Lire magazine littéraire - Camille Thomine
« Dans ce roman vagabond, les temporalités déboussolées se chevauchent, rayonnant en une méditation cyclique et cyclothymique sur la mort et le temps. »
Actualitté - Valentine Costantini
« Ce nouveau roman de David Lopez est étrange, de la plus belle des façons. C’est un récit d’une profonde humanité, qui repose sur l’introspection d’un homme face à une vie qu’il ne semble pas comprendre, du moins pas tout à fait. Comme un manque à combler, un sens existentiel à trouver. On sent une brisure, là, une douleur qui ne demande qu’à être soignée, bien que jamais tout à fait identifiée. »
Le Monde des Livres - Fabrice Gabriel
« Vivance est tout simplement un très bon livre. »

Deux secondes d'air qui brûle - Diaty Diallo

Les Inrockuptibles - Gérard Lefort
« Révélation de la rentrée, Diaty Diallo, 33 ans, signe Deux Secondes d'air qui brûle. Poésie et rythmes rap pour un récit qui pulse et qu'on n'oublie pas. »
L'Humanité - Sophie Joubert
« Un roman agile emmené par une langue qui cavale. »
Lire magazine littéraire - Léonard Desbrières
« Diaty Diallo donne à lire une des bombes de la rentrée. »
L'Obs - Elisabeth Philippe
« Roman incendiaire sur les violences policières, « Deux Secondes d'air qui brûle » met le feu aux idées reçues sur les quartiers et devrait enflammer la rentrée littéraire. »
ELLE - Clémentine Goldzal
« Diaty Diallo aligne les punchlines avec une élégance folle. Déjà une grande. »
Le Parisien week-end - Léonard Desbrières
« Digne héritière de la pionnière Faïza Guène, la nouvelle poétesse du bitume Diaty Diallo est l’une des révélations de la rentrée. »
Diacritik - Johan Faerber
« Puissant et remarquable : tels sont les mots qui viennent immédiatement à l’esprit pour qualifier le premier roman de Deux secondes d’air qui brûle. »