Ils en parlent

Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.

Avis

Auteurs

Le Miroir - Luc Bronner

LCP - Myriam ENCAOUA
« Un voyage tout en nuances au cœur des quartiers populaires, mais surtout de ses multiples acteurs pour changer de regard et tordre le cou à toutes les idées reçues. […] Et c’est particulièrement bien écrit.  »
Quotidien - Yann Barthès
« L’ancien patron du Monde est l’un des plus grands observateurs des banlieues françaises, il nous tend un miroir.  »

Respire, c'est de l'iode ! - Anny Duperey

VSD - Olivier Bousquet
« Le temps d'un livre, la comédienne ouvre la boîte à souvenirs au moyen de courts textes passionnants. Une façon aussi pour elle de se raconter, notamment son long et difficile apprentissage de la féminité. »

Ce que j'ai vu à Auschwitz - Alban Perrin

France Inter - Le 7/10
« Un document exceptionnel, les écrits d'Alter Fajnzylberg, survivant des Sonderkommando d'Auschwitz, a été découvert par son fils Roger Fajnzylberg. Ces cahiers décrivent avec précision les horreurs du camp. Roger, à 77 ans, a décidé de les explorer pour préserver la mémoire familiale et transmettre ce témoignage rare à ses enfants, malgré le silence de son père sur ce passé. »
L’humanité
« La calligraphie d'Alter est nerveuse, tendue et l'on relèvera à cet égard le travail minutieux de compréhension, de traduction et de contextualisation de l'historien Alban Perrin. Le propos fourmille de renseignements, d'anecdotes et constitue un matériau historique précieux. Les atrocités qu'il révèle sont à peine croyables tant elles dépassent l'entendement. Mais, de ces lignes, il transpire également la ténacité du survivant, témoin et relais de la mémoire de ceux qui ne sont jamais revenus. »
La Croix - Béatrice Bouniol
« Sa description au scalpel du système concentrationnaire donne le vertige, comme l'improbabilité qu'elle se retrouve entre nos mains. »
FleurDuBien - Babelio
« Alors déjà, ouvrage à ne pas mettre entre toutes les mains. Depuis Primo Levi, je n'avais jamais lu la Shoah avec tant d'émotions. Peu d'iconographie, seulement quelques photos à la fin. Documen... » Lire plus
Emiliepepete - Babelio
« Ce que j'ai vu à Auschwitch est un superbe livre documentaire avec des photos incroyable je l'ai dévorer en 2 voir 3 jours maximum Un livre que je ne me lasserais pas de relire ou même regarderais l... » Lire plus

La Profondeur de l'apparence - Elisabeth Olliéric

Libération
« "Elisabeth Olliéric, avec élégance et sobriété, se souvient des émotions qu'elle a associées aux vêtements. [...] Un livre concis, ravissant et intelligent, qui inaugure la nouvelle collection des éditions du Seuil, "Le Bar de la Sirène"." »
ELLE - Olivia de Lamberterie
« En ces années 1970 et provinciales où grandit l'autrice, les grandes personnes ne parlaient pas des choses importantes aux petites personnes. Son père fait une dépression, mais chut, ça ne se dit pas. Comme à ses cousines, on achète à la fil lette un manteau rouge à double boutonnage, d'un beau lainage épais. Une vraie leçon de choses de la vie que ce vêtement :« Comme une armure qui vous tient, vous aide quelquefois à crâner parce qu'on ne veut surtout pas de la pitié des autres. Dès lors, il y a eu la possibilité d'un style auquel se raccrocher. »Dans ce premier ouvrage, délicat et sensible, Elisabeth Olliéric se souvient des vêtements qui ont habillé sa vie ou l'ont obsédée, comme la collection Cacharel automne-hiver 1976, photographiée par Sarah Moon. Elles étaient nombreuses les adolescentes à rêver devant ces robes en Liberty, une traversée des apparences pour dévoiler les sentiments cachés derrière le tissu. Ainsi sa robe de mariée est trop courte et ne semble pas être celle de ses rêves, normal pour une jeune fille dont on n'a jamais cultivé les désirs, seulement la capacité à résister au malheur. Des années après, rompue parla séparation, elle la jettera. Heureusement, il y a les vêtements bouées de secours, le col roulé noir, les chemises volées aux hommes, les robes folles que l'autrice endosse comme des rôles. « Qu'allons-nous choisir de dévoiler ou nous retenir de montrer ? » telle est la question posée par Elisabeth Olliéric. Mine de rien, elle dévoile beaucoup de ses chagrins, évoque la canadienne de son frère aimé, mort très jeune, pour dire son chagrin sans fin. Chacun retrouvera un peu de soi dans ce livre miroir qui ne manque jamais d'élégance des sentiments.  »