Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.
Les Echos - Gaspard Koenig « Cet essai ingénieux, documenté et non sans humour tente de nous ramener sur terre en faisant l'éloge des bactéries qui viennent travailler notre matière. II est question de mémoire microbienne et de champignons mycorhiziens, de blobs et de mousses, de soupe primordiale et d'humusation. L'infiniment petit des micro-organismes, que nous avons si longtemps méprisé au profit de l'infiniment grand des planètes, nous définit et nous oblige. [...] Tout l’intérêt de cet essai, outre de proposer une véritable éthique du moisi faite d’ouverture raisonnée et de transformation douce, est de déceler chez nos contemporains une tendance de fond. »
Simple Things « « Etonnant, exigeant, mais furieusement actuel. » »
Cacouk - Babelio « "Fermentations" d'Anne-Sophie Moreau explore avec finesse et sens de la formule notre fascination pour tout ce qui pourrit. Entre philosophie, écologie et culture, elle montre comment des processus de... » Lire plus
ErodianWaves - Babelio « ""Quand, en 1945, Hiroshima fut détruite par une bombe atomique, il a été rapporté que la première créature vivante à émerger dans le paysage désolé était un champignon matsutake" - Anna Lowenhaupt Ts... » Lire plus
Leless - Babelio « Fermentations d'Anne-Sophie Moreau est un essai qui mêle réflexion philosophique et exploration culturelle.
J'apprécie particulièrement cette approche sur la régénération qui traverse aussi bien la p... » Lire plus
lapressedusoir - Babelio « 'Fermentations' De Anne-Sophie Moreau. Une enquête sur la fermentation, croisant alimentation et politique, socle d'une nouvelle éthique sociale et écologique qui s'inspire des philosophies ancienne... » Lire plus
Quinzaines - Christophe Solioz « Toujours à la recherche d'idées nouvelles, Tim Ingold fait souffler un vent nouveau sur les sciences humaines. Prenant la mesure de l'anthropocène, proposant un récit alternatif sur l’urgence environnementale, il nous engage à ouvrir de nouvelles perspectives, à envisager d'autres possibilités. Ces lignes de forces de l'argumentation d'Ingold structurent Le Passé à venir, qui propose d'aborder de manière pour le moins originale l'idée de génération. »
Les Inrocks - Jean-Marie Durand « « Le Passé à venir prolonge d'autres essais remarqués comme Une brève histoire des lignes (2011), où il estimait déjà que l'individu n'est pas une chose fermée sur elle-même, mais un entrecroisement de lignes, à la manière d'un tissu. Ici, il tire ce même fil pour asseoir une position forte : la vie se forge dans la collaboration entre générations qui se chevauchent. » »
Philosophie Magazine - Frédéric Manzini « « Tim Ingold nous offre une manière d’échapper à notre courte vue de ce qu’il appelle la « Génération Maintenant » enfermée dans son présentisme, pour mieux nous réinscrire dans la « longue durée [en français dans le texte] de l'histoire », seule capable de nous faire envisager l'avenir d'une coexistence durable. » »
Télérama - Juliette Cerf « « Partisan d'une « écologie du sensible », chantre d'une « attention émerveillée » envers l'élan du vivant, c'est aujourd'hui à ses « ancêtres » que le professeur émérite d'anthropologie sociale à l’université d'Aberdeen, en Écosse, dédie son nouvel ouvrage, Le Passé à venir, qui remet en mouvement une vision figée des générations. Déroutant, enclin à citer James Bond, un album jeunesse, Gilles Deleuze, Lucrèce ou un jeu comme pierre-feuille-ciseaux, Tim Ingold ne cesse d'être inventif. » »
Le Monde des Livres - David Zerbib « « La pensée de Tim Ingold pourrait être comprise ainsi : retisser des liens qui unissent les différentes formes de vie, humaines et non humaines, et renouer le mouvement de filiation qui relie les humains entre eux à travers le temps. (…) Son nouvel essai Le passé à venir approfondit la dimension temporelle. Un mode de pensée original. » »
La Croix L'Hebdo - Elodie Maurot « « Cette lecture est de celles qui infusent longtemps. » »
Leclaircie - Babelio « Essai passionnant qui plaide pour que chaque génération coopère plutôt qu'elles s'invectivent (ou s'ignorent).
Qu'elles s'entrelacent plutôt qu'elles s'empilent selon l'image de la corde plutôt que d... » Lire plus
JCLDLGR - Babelio « Ce livre est un peu difficile à classer, philosophie, critique sociale, l'auteur commence par exposer sa thèse, dont le coeur est la transmission continue entre générations, l'imbrication des expérienc... » Lire plus
Le Monde des livres - Florent Georgesco « Encore devons-nous nous rendre disponibles à ces rencontres nouvelles. C'est ce que l'auteur met au bout du compte en lumière, en décrivant l'angoisse, la joie, les interrogations indéfinies l'apparition d'une sensibilité, non seulement à la vie animale, mais aux individus animaux. Ceux-ci ne se contentent plus d'incarner leur espèce. Ils sont là, devant nous, et nos représentations en sont bouleversées. Au point de créer un conflit entre la vivacité des émotions et la prudence obligée des tentatives scientifiques pour saisir ces singularités. »
Lucie Delaporte - Mediapart « « Dans son très stimulant livre Des vies océaniques. Quand des animaux et des humains se rencontrent (Le Seuil, 2025), l’anthropologue Fabien Clouette, chargé de recherche au CNRS, analyse la tendance à entretenir un rapport de plus en plus individualisé avec les mammifères marins qui peuplent depuis si longtemps nos imaginaires. » »
Lire Magazine « « Un livre qui fait émerger des questions anciennes, mais à travers un regard original et moderne. » »
LCI - Le Temps de l'info - Guillaume Auda « Ce qui est vraiment magnifique, c’est que vous racontez une histoire en empruntant au code narratif. Ça donne un itinéraire, une couleur à ce que vous écrivez. Vous racontez des histoires et c’est vraiment passionnant ! »
France Inter - Marion L'Hour « « Un ouvrage foisonnant, passionnant, fascinant. » »
Guillaume Auda - LCI « « Ce qui est vraiment magnifique, c’est que vous racontez une histoire en empruntant au code narratif. Ça donne un itinéraire, une couleur à ce que vous écrivez. Vous racontez des histoires et c’est vraiment passionnant ! » »
France Inter - Eva Bester « « Une passionnante plongée dans les bas-fonds de l’âme humaine, explorant l’éternelle et insoluble question du mal. » »
Europe 1 - Frédéric Taddeï « « Votre livre fait 500 pages, mais ce sont 500 pages captivantes. » »
DODONONO - Babelio « Une fois de plus, Patricia Tourancheau m'a très gentiment dédicacé ce livre, au festival du polar Bloody Fleury, avec son sourire et sa disponibilité habituelle.
De ses vingt-cinq années pa... » Lire plus