Les avis de lecture...

Lire Magazine Sophie di Malta

La Déprise

« Dans le sillage de Lacan, pour qui « céder sur son désir, c’est trahir son être », Clotilde Leguil convoque des figures littéraires – d’Antigone à Barbe-Bleue – et rappelle que l’amour ne suppose pas l’effacement de soi, mais la fidélité à ce qui, chez soi, résiste (…) Brillamment écrit ».

Livres Hebdo Marie Fouquet

La Déprise

"Un essai passionnant qui entremêle les références littéraires, philosophiques et psychanalytiques.[...] Clotilde Leguil invite à penser aux manières de se reprendre et de se déprendre, par la parole et par les actes, de toute emprise qui éloignerait le sujet de son propre désir."

Philosophie Magazine Clara Degiovanni

La Déprise

"L'ouvrage de Clotilde Leguil est une ode au langage et à la psychanalyse. La possibilité de dire, de se dire - sur le divan d'un psy, dans un livre ou en parlant à des amies - restaure le rapport à soi. Là où l'emprise vient étouffer la capacité de se définir et de dessiner les contours de son être, la prise de parole est un acte de « désobéissance »."