Les avis de lecture...

Le Vif l'express Nidal Taibi

La Déprise

« Son angle d'attaque n'est pas qu'intime, il est aussi politique. A l'heure des applications qui « contractualisent » le consentement et l’amour, de l'injonction à jouir sans entraves, du grégarisme des réseaux et de la vitesse qui dissout la parole, Leguil rappelle que l'éthique du désir suppose du temps, des mots et la capacité de désobéir aux voix qui commandent en nous ».

Télérama Camille Cerf

La Déprise

« Cette autrice, à la fois philosophe et psychanalyste, éclaire cliniquement et conceptuellement les grandes expériences subjectives et intimes qui sont les nôtres, qui ont la particularité d'être les mieux partagées mais de demeurer les plus énigmatiques : le désir, le narcissisme, la jouissance, le consentement, etc… »

Libération Cécile Daumas et Clémence Mary

La Déprise

« Depuis MeToo, l’analyste poursuit son investigation des maux mis au jour par le mouvement féministe (…). Aujourd’hui, elle revient au commencement de l’amour, quand la rencontre se dessine, moment exaltant où l’on s’oublie pour aller vers l’Autre. Mais la déprise signifie aussi se libérer quand la relation bascule et que le sujet s’éloigne de son propre désir ».

Le Monde des Livres Félix d'Assumçao

La Déprise

« En parcourant la sphère de l'intime aussi bien que celle du politique et en s'appuyant, à chaque moment de sa réflexion, sur des exemples littéraires et cinématographiques variés, Clotilde Leguil illustre l'importance des pas de côté dans tous les domaines de l'existence ».

Lire Magazine Sophie di Malta

La Déprise

« Dans le sillage de Lacan, pour qui « céder sur son désir, c’est trahir son être », Clotilde Leguil convoque des figures littéraires – d’Antigone à Barbe-Bleue – et rappelle que l’amour ne suppose pas l’effacement de soi, mais la fidélité à ce qui, chez soi, résiste (…) Brillamment écrit ».

Livres Hebdo Marie Fouquet

La Déprise

"Un essai passionnant qui entremêle les références littéraires, philosophiques et psychanalytiques.[...] Clotilde Leguil invite à penser aux manières de se reprendre et de se déprendre, par la parole et par les actes, de toute emprise qui éloignerait le sujet de son propre désir."

Philosophie Magazine Clara Degiovanni

La Déprise

"L'ouvrage de Clotilde Leguil est une ode au langage et à la psychanalyse. La possibilité de dire, de se dire - sur le divan d'un psy, dans un livre ou en parlant à des amies - restaure le rapport à soi. Là où l'emprise vient étouffer la capacité de se définir et de dessiner les contours de son être, la prise de parole est un acte de « désobéissance »."