Michela Murgia
Romancière et essayiste, Michela Murgia est née à Cabras en 1972. L’époustouflant Accabadora avait été couronné par le prix Campiello 2010 et le prix Page des libraires 2011. Ses livres sont traduits dans de nombreux pays.
Leçons pour un jeune fauve
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Les avis de lecture...
Leçons pour un jeune fauve
Murgia n'est pas seulement une championne de l'analyse psychologique profonde. Elle est aussi une écrivaine rouée. Quelqu'un qui joue avec nos nerfs, ménage le suspense, nous égare sans cesse sur de fausses pistes. Jusqu'au coup de théâtre final.Leçons pour un jeune fauve
Avec un style incisif, Michela Murgia met en exergue toute la complicité des rapports qu'Eleonora entretient avec les hommes, dû à un passé familial difficile. Un roman contemporain où la femme est aussi puissante que sensible.Leçons pour un jeune fauve
Trois raisons de lire Michela Murgia : son écriture a la force de la Sardaigne, ses portraits de femmes sont bouleversants, et elle a reçu le prix Page des libraires en 2011 pour Accabadora (Points). Ce roman est avant tout le portrait d’une femme forte et bouleversante, servi par une écriture magnifique, dure, sans concessions, parfois crue et sarcastique. C’est toute la force de la Sardaigne que vous ressentirez à travers ces lignes.
« Difficile de parler d'un livre traduit quand le traducteur est aussi écrivain. Le roman de Michela Murgia est un grand texte, émouvant, prenant, sincère et tous ceux qui à un moment de leur vie, profe... » Lire plus
« Je trouve que se plonger dans La Guerre des saints de Michela Murgia est une expérience de lecture pleine de charme, qui vous transporte immédiatement dans l'atmosphère unique de la Sardaigne. Ce cour... » Lire plus
« Un très agréable court roman, histoire de passage, d'ancrage et de construction de la mémoire. » Lire plus
« Michela Murgia nous plonge dans une Sardaigne intemporelle, où la vie et la mort cohabitent comme deux soeurs résignées. Bonaria Urrai, couturière solitaire, recueille la petite Maria, 6 ans, orphel... » Lire plus
« accabadora, mot sarde signifiant « ange miséricordieux » et qui, selon la tradition, désignait une femme qui provoquait la mort par euthanasie des malades en phase terminale. C'est ce que va découvrir... » Lire plus