Ils en parlent

Libraires, journalistes, chroniqueurs, lectrices et lecteurs, retrouvez des avis parus dans la presse, sur les sites de vos librairies préférées et sur Babelio à propos des ouvrages publiés aux Editions du Seuil.

Avis

Auteurs

Ramsès de Paris - Alain Mabanckou

Le Parisien - Hubert Artus
« "Drôle et sarcastique, Alain Mabanckou nous entraîne dans un jeu d'énigmes qui donne un tour nouveau à son œuvre."  »
Libération - Yann Perreau
« "Drôle et tendre, ce roman audacieux par son style - phrases sans presque aucune ponctuation, flux direct du narrateur qui se moque des accords et fait l'école buissonnière de la grammaire - puise joyeusement dans le patrimoine littéraire et cinématographique, chacun des 55 chapitres s'inspirant d'un livre ou d'un film célèbre." »
L'Humanité - Muriel Steinmetz
« "On retrouve, avec un plaisir gourmand, la truculence langagière d'Alain Mabanckou." »
Le Masque et la Plume - Arnaud Viviant
« "Un ruban entre la fiction et la réalité, un mélange des cultures hautes et basses et une vraie réflexion sur la question de l'immigration. [...] Du très grand Alain Mabanckou." »
RFI - Sur le ponts des arts - Nathalie Amar
« "Quel plaisir, en cette rentrée grisâtre, de retrouver le style réjouissant d'Alain Mabanckou et ses personnages aussi facétieux qu'attachants !" »
Le Figaro - Mohamed Aïssaoui
« "Vingt ans après 'Verre cassé', une nouvelle ode à la littérature." »

La Déprise - Clotilde Leguil

Philosophie Magazine - Clara Degiovanni
« "L'ouvrage de Clotilde Leguil est une ode au langage et à la psychanalyse. La possibilité de dire, de se dire - sur le divan d'un psy, dans un livre ou en parlant à des amies - restaure le rapport à soi. Là où l'emprise vient étouffer la capacité de se définir et de dessiner les contours de son être, la prise de parole est un acte de « désobéissance »." »
Livres Hebdo - Marie Fouquet
« "Un essai passionnant qui entremêle les références littéraires, philosophiques et psychanalytiques.[...] Clotilde Leguil invite à penser aux manières de se reprendre et de se déprendre, par la parole et par les actes, de toute emprise qui éloignerait le sujet de son propre désir." »
Lire Magazine - Sophie di Malta
« « Dans le sillage de Lacan, pour qui « céder sur son désir, c’est trahir son être », Clotilde Leguil convoque des figures littéraires – d’Antigone à Barbe-Bleue – et rappelle que l’amour ne suppose pas l’effacement de soi, mais la fidélité à ce qui, chez soi, résiste (…) Brillamment écrit ». »

Ce que l'égalité veut dire - Thomas Piketty

Le Nouvel Obs - Eric Aeschimann
« « À contre-courant de la morosité ambiante, l’économiste affiche son optimisme dans la lutte contre les inégalités. Pour y parvenir, il propose un remède : la « démarchandisation ».  »
Alternatives économiques - Christian Chavagneux
« « Lorsque l'un des plus grands spécialistes américains de philosophie politique, Michael Sandel, rencontre l'un des meilleurs économistes du XXIe siècle, Thomas Piketty, cela donne... un petit livre abordable et bien utile pour penser nos sociétés contemporaines ».  »
BFM Business « La librairie de l’éco » - Christian Chavagneux
« « Un petit livre de dialogue entre Michael Sandel qui est des plus grands spécialistes américains de philo politique et Thomas Piketty un des plus grands économistes français. On se dit que quand deux intellectuels comme ça se mettent à dialoguer, ça va être une sacrée prise de tête. Pas du tout : c’est un petit livre extrêmement clair, (…) très limpide ».  »
Le Monde - Pascal Riché
« « Un dialogue vif et éclairant. » »

À la table des loups - Adam Rapp

Livres Hebdo - Laëtitia Favro
« "Un roman magistral sur l'Amérique des réprouvés." »
France Info - Mohamed Berkani
« "Un voyage au bout de l'aliénation dans un roman vertigineux, hanté par la violence. Une fresque familiale, intimiste et dangereusement ténébreuse, traversée par des éclairs d'une humanité salvatrice. Indispensable." »
Le Progrès - Florence Dalmas
« "Une déroutante saga familiale qui entraînera le lecteur jusqu'aux racines du mal..." »
Le Nouvel Obs - Didier Jacob
« "Un roman maîtrisé à l'élégance toute classique, qui embrasse soixante ans d'histoire américaine." »
France Inter - Nicolas Demorand
« "Une fresque familiale qui court sur 60 ans et trois générations, conclue par une vertigineuse note de l'auteur nous révélant la dimension autobiographique de cette fiction." »
Millepages - Pascal Thuot
« Une plongée hallucinée au cœur d'une Amérique peuplée de fanatiques et d'impies. Car c'est bien dans cette dramaturgie ordinaire que se logent la violence et l'horreur... Dans la grande tradition du roman social noir qui va de Faulkner à Donald Ray Pollock en passant par Flannery O'Connor, Adam Rapp jette en pâture aux loups les derniers lambeaux du rêve américain.  »