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Le Cœur synthétique, Chloé Delaume

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Les Sorcières de la République de Chloé Delaume

Chloé Delaume vous présente son dernier ouvrage Les Sorcières de la République pour la rentrée littéraire.
Illustration de l'actualité Les Editeuriales 2024 Événement

Les Editeuriales 2024

Pour la huitième saison des Éditeuriales, la médiathèque François-Mitterrand de Poitiers et son réseau reçoivent les Éditions du Seuil, du 19 mars au...
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Les avis de lecture...

Madame Figaro

Ils appellent ça l'amour

Réflexion sur le féminisme et les nouvelles injonctions obligeant les femmes à revisiter un passé pas toujours glorieux, le roman, d'une écriture tantôt acide, tantôt tendre, se demande comment en finir avec la honte...

L'Humanité

Ils appellent ça l'amour

"Comment sortir du silence et de la honte? Dans ce livre, peut-être l'un des plus sombres qu'elle ait écrits, Chloé Delaume règle son compte à l'idéal du couple hétéronormé avec son lot de violences et d'inégalités."

Les Inrockuptibles Nelly Kaprièlian

Ils appellent ça l'amour

"Deux ans après son très beau "Pauvre Folle", Delaume revisite un épisode de la vie amoureuse de Clotilde avec une acidité caustique envers l'homme en question, mais aussi envers elle-même, et se livre à une déconstruction du couple hétéro, de ses codes sociaux et de la façon dont il peut se faire mirage, agité partoute une société, pour mieux piéger une femme. "

Philosophie Magazine Clara Degiovanni

Ils appellent ça l'amour

"En lisant Delaume, on comprend comment se construisent les prisons et comment les bouches se cousent. Un récit de détresse et de culpabilité qui documente très précisément le fonctionnement de l'emprise."

Livres Hebdo Marie Fouquet

Ils appellent ça l'amour

"Un récit romanesque et intime, empreint de conscience féministe. « Ils appellent ça l'amour » raconte les violences et les viols conjugaux, et la honte qui fait taire les femmes, même au sein de leur cercle amical, lorsqu'il s'agit d'évoquer une relation d'emprise."

Librairie Page et Plume

Le Coeur synthétique

« Une Bridget Jones 2.0

C'est drôle et brillant ! »